Atelier d'éducation populaire de réflexion et de partage d'outils
contre la pédo-sexualité et contre la culture de la pédophilie
Par Solenn
et Marie
"Dans cet
atelier, sous forme d'outils issus de l'éducation populaire, notre but sera,
dans un climat de bienveillance, de réfléchir ensemble, dans l'intérêt des
enfants, et dans une perspective féministe, à des outils contre la
pédo-sexualité. Et ce dans l'intention qu'une culture anti-pédophile se
développe, se diffuse et se propage. Les participantEs seront amenéEs à
réfléchir à quand ouvrir ou fermer sa gueule en tant qu'adulte, et à chercher
des outils pour réagir : - face aux enfants - face à des discours
pro-pédophiles - face à des pédophiles revendiquéEs - face à des situations
déviantes On cherchera ensemble comment repérer des comportements qui peuvent
mettre la puce à l'oreille (impacts psychologiques des viols, langage
non-verbal...) On précise que notre but n'est pas d'éduquer seulement les
parents mais de rendre visible un phénomène qui concerne tout le monde, pour
que les adultes se sentent globalement responsables des enfants qui les
Entourent."
10h-12h/14h-17h,
au Guingois
mixité de genre, 12 participant-e-s, adultes, durée 5h
inscription nécessaire, à partir du 1er mai 9h, au 06 32 90 35 54
mixité de genre, 12 participant-e-s, adultes, durée 5h
inscription nécessaire, à partir du 1er mai 9h, au 06 32 90 35 54
OUVERTURE DES RENCONTRES
A 19h, à la salle des fêtes de Marcillac
Présentation du week end
Soirée en mixité
LA PLACE N'ÉTAIT PAS VIDE
Regards
critiques sur les pratiques médicales en vers les femmes et chemins de
libération…"
Conférence gesticulée, par Catherine Markstein (ASBL femmes et santé)
La pratique médicale s’est toujours assurée, en complicité et collusion
avec le pouvoir politique et religieux, de la surveillance et du contrôle des
différents cycles de vie des femmes et des différents temps de la
reproduction. A partir d’expériences et trajectoires de vie de
femmes, j’élucide cette histoire de colonisation et de dépossession des savoirs
et compétences propres des femmes concernant leurs corps, leur santé, leurs
sexualités. Je raconte comment j’ai été confrontée à une pratique médicale normative
et autoritaire au cours de ma vie de femme et de médecin, puis comment j’ai
connu le Mouvement pour la Santé des Femmes qui a développé une pensée et une
pratique dé-professionnalisée, participative et collective de la santé.
Et aujourd’hui ? Comment nous réapproprier ces savoirs, créer et réinventer
une nouvelle culture de transmission en matière de santé entre femmes ? Comment
rendre participative la pratique médicale et nous familiariser avec une
approche collective qui est celle de l’Auto-santé ? Chantons et
dansons sur ces chemins de libération… Militer, c’est bon pour la santé !
21h, salle des fêtes de Marcillac,
En mixité, durée 1h15
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